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AQPER et Commission sur les enjeux énergétiques
L'AQPER a récemment déposé son mémoire à la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec.
Pour en prendre connaissance, cliquez ici.
Assemblée générale annuelle 2016 - Procuration
Dans l'éventualité où votre délégué(e) principal(e) ne pourrait pas être présent(e) lors de notre AGA qui se tiendra le 22 juin 2016 à partir de 16h au Club Saint-James - 1145, avenue Union à Montréal, veuillez transmettre à Haja Andria une copie de la procuration disponible ici.
Code d'éthique
À L’INTENTION DES MEMBRES ET DES BÉNÉVOLES DE
L’ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DE LA PRODUCTION D’ÉNERGIE RENOUVELABLE (« AQPER »)
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Préambule et énoncé de mission de l'AQPER
Active au Québec depuis presque un quart de siècle, l'AQPER regroupe les producteurs, équipementiers et entreprises de biens et services du secteur des énergies renouvelables.
L'AQPER a pour mission d'accroître la production d'énergie renouvelable de source indépendante et d'en maximiser la valorisation dans le portefeuille énergétique québécois. Les actions de l’AQPER sont fondées sur le respect des principes du développement durable et favorisent le développement économique tant des régions que des grands centres du Québec.
L'AQPER favorise l’avancement et la diffusion de la connaissance scientifique et technique, encourage la recherche et le développement, esquisse de nouveaux modèles d’affaires et contribue à développer une expertise proprement québécoise.
À l'écoute des intervenants du milieu, des pouvoirs publics et des citoyens, l’AQPER encourage les échanges entre les divers intervenants. Dépositaire de l'expertise québécoise en matière d'énergie renouvelable, l'AQPER met le savoir‑faire de ses membres à contribution. Elle informe le grand public sur les filières énergétiques renouvelables et participe aux débats sur les enjeux énergétiques. Elle bonifie les règlements et protocoles et prend part aux consultations gouvernementales ainsi qu'aux groupes de travail des ministères pouvant bénéficier de son expertise.
Les décisions et orientations prises par l’AQPER visent à promouvoir, défendre et développer les intérêts professionnels, économiques, sociaux et moraux de ses membres, de leurs partenaires commerciaux et des collectivités avec lesquelles ces derniers collaborent.
- Champ d’application et objet
- De manière générale, le Code d'éthique des membres de l’AQPER (le « Code») édicte des normes de conduite et des limites de comportement acceptables à l’ensemble des membres de l’AQPER, notamment, mais sans s'y limiter, à tout membre qui exerce une fonction au sein de l’AQPER.
- De manière plus spécifique, mais sans s'y limiter, le présent Code expose les devoirs et obligations des membres qui exercent des fonctions au sein de l’AQPER, c’est-à-dire les administrateurs nommés au conseil d'administration de l'AQPER (le « Conseil d’administration») et les membres qui s’impliquent et participent aux travaux des comités ou groupes de travail de l’AQPER.
- Le présent Code expose les mesures préventives ainsi que les sanctions applicables en cas de manquement à une ou plusieurs de ses dispositions.
- Dans le présent Code, on entend par « AQPER » toutes les instances, comités et groupes de travail de celle-ci.
- On entend également par « membres » toute personne, physique ou morale, qui adhère à l’AQPER et, le cas échéant, le représentant de toute telle personne.
Est exclue de cette notion de « membre » toute personne qui a, de manière générale, un lien d’emploi et qui est rémunérée pour sa prestation de travail ou ses services à l’égard de l’AQPER ou qui, uniquement pour les fins de l’exécution d’un mandat, a un lien contractuel avec l’AQPER.
- Valeurs et principes fondamentaux de l'AQPER
- L’AQPER prône les valeurs suivantes :
- Le respect d’autrui : basé sur l’acceptation d’un principe d’égalité entre les membres, chacun ayant les mêmes droits et les mêmes devoirs.
- La courtoisie et la politesse : basées sur le respect des bonnes manières et des règles de la bienséance.
- L’honnêteté et l’intégrité : basées sur la droiture des membres dans leur rapport à autrui.
- L’impartialité et l’objectivité : basées sur l’équité et l'absence de parti pris.
- La rigueur : basée sur l’exactitude, la logique, la précision et le souci du travail bien fait.
- L’équité entre les filières de production : basée sur l’impartialité et le juste traitement entre les membres.
- Les principes fondamentaux de l’AQPER sont les suivants :
- L’AQPER regroupe et représente les intérêts de ses membres : notamment les entreprises, les centres de recherche et de formation ainsi que les collectivités qui ont fait des énergies renouvelables un axe de développement durable, sans distinction de la taille d’entreprise, de la filière de production, du type de services ou de produits offerts ou de la localisation géographique.
- L’adhésion à l’AQPER est volontaire et les décisions et orientations de celle-ci sont prises démocratiquement par ses diverses instances, à savoir les comités et groupes de travail et son Conseil d'administration. Il revient à ce dernier d’arbitrer les décisions et orientations des différents comités et groupes de travail afin d’assurer la cohérence de ses actions et la réalisation de son plan stratégique.
- Les membres de l’AQPER supportent financièrement les activités de celle-ci par l’entremise de leurs cotisations régulières ou spéciales, leur participation aux activités ou par les différentes options de visibilité qui leur sont offertes.
- Les intérêts supérieurs des énergies renouvelables au Québec doivent toujours primer sur les intérêts individuels ou sectoriels des membres lorsque l'AQPER doit statuer sur les actions à prioriser ou les services à développer.
- Les représentations gouvernementales, la participation aux débats de société, la présentation de mémoires, la prise de parole publique, l’établissement de partenariats, la communication par l’entremise des médias, traditionnels ou sociaux constituent les moyens privilégiés de l’AQPER pour réaliser son plan stratégique.
- L’AQPER vise, par ses prises de position et ses actions, le développement de nouvelles possibilités pour les énergies renouvelables, la pluralité des solutions, la défense des droits de ses membres afin de leur permettre d’évoluer dans un environnement d’affaires prévisible et propice à l’innovation.
- Le développement durable est fondamental au développement des énergies renouvelables et leur acceptation par la société québécoise.
- L’AQPER prône les valeurs suivantes :
- Règles d’éthique générales applicables à l'ensemble des membres de l'AQPER
- De manière générale, tout membre de l'AQPER s’engage à :
- Agir de manière respectueuse et de bonne foi envers l'AQPER, sa présidence, ses employés et les autres membres de celle-ci.
- Respecter les valeurs prônées par l’AQPER et à faire preuve de prudence et de diligence dans l’exercice de ses fonctions, lorsqu’applicable.
- Agir dans l’intérêt de l’AQPER ou, à tout le moins, dans l’intérêt du développement des énergies renouvelables au Québec.
- Respecter les obligations que la loi lui impose et, lorsqu’applicable, à agir dans les limites des mandats et pouvoirs qui lui sont conférés.
- Représenter dignement l’AQPER et à en faire la promotion, lorsque possible ou opportun.
- S’assurer que ses prises de position publiques ou dans les médias, traditionnels ou sociaux, autrement que dans le cadre de l’exécution d’un mandat de représentation pour un tiers (notamment à titre d’avocat, d’agent en relation publique, etc.), ne soient pas en opposition avec les décisions et orientations prises par l’AQPER ou, à tout le moins, contraire au développement des énergies renouvelables au Québec.
- Éviter de jeter le discrédit sur l’AQPER.
- Être respectueux des décisions et orientations prises par l'AQPER et à respecter la volonté majoritairement exprimée.
- Se prévaloir, le cas échéant, de son droit de faire valoir ses idées et opinions, notamment son droit à la dissidence en conformité avec le paragraphe (g) de l’article 3.1.
- Éviter en tout temps d’associer l’AQPER à toute activité partisane politique. Un membre qui décide de s’engager en politique active doit, le cas échéant, se retirer temporairement de ses fonctions et, s'il est élu, doit dès que possible mettre un terme à son adhésion à l'AQPER.
- S’efforcer, dans la mesure du possible, d’assister à toutes les réunions ou assemblées où il est convoqué, incluant le colloque.
- Lorsqu’applicable, se rendre disponible, dans la mesure du possible, pour l’exécution des mandats pouvant lui être généralement ou spécialement confiés.
- Ne pas divulguer les discussions, les échanges et les débats précédant et menant à la prise de décision d’un comité ou groupe de travail de l’AQPER et tout ce qui est spécifiquement indiqué comme étant confidentiel par un comité ou groupe de travail de l’AQPER lors d’une réunion.
- De manière générale, tout membre de l'AQPER s’engage à :
- Règles d'éthique de l’AQPER applicables aux membres du Conseil d'administration
- L'administrateur est tenu de respecter les règles éthiques applicables à l'ensemble des membres de l'AQPER.
- L’administrateur est élu pour contribuer, à l’intérieur de son mandat, à la réalisation de la mission de l’AQPER et à la bonne administration de celle‑ci.
Pour ce faire, l'administrateur est tenu de respecter les valeurs et les principes fondamentaux que prône l'AQPER. À cet égard, il s'engage à agir avec prudence, diligence, intégrité, loyauté, honnêteté, impartialité, objectivité et en toute bonne foi, et ce, en fonction des intérêts de l'AQPER.
- L’administrateur doit non seulement faire preuve d’une disponibilité et d’une diligence raisonnable, mais il doit consacrer des efforts suffisamment raisonnables à la réalisation de la mission de l’AQPER.
À moins d'un empêchement, l'administrateur doit être présent aux réunions du Conseil d'administration. Dans le cas d’un empêchement, l'administrateur doit en aviser le président du Conseil d'administration dès que possible.
- L'administrateur doit être solidaire des décisions prises par le Conseil d'administration et doit se rallier à celles-ci, et ce, malgré sa dissidence. Il peut toutefois faire inscrire sa dissidence au procès-verbal. Tout désaccord doit demeurer à l'intérieur des discussions du Conseil d'administration.
- L'administrateur doit signaler au Conseil d'administration, le plus rapidement possible, toute interrogation ou tout manquement au présent Code. S'il a un doute quant aux faits donnant lieu à un manquement au présent Code, il doit communiquer les informations pertinentes au Conseil d'administration qui verra à agir en conséquence, en fonction des pouvoirs qui lui sont confiés.
- L'administrateur ne doit pas faire usage, durant son mandat, des informations confidentielles ou sensibles au sens du présent Code dont il a connaissance en tant qu'administrateur de l'AQPER.
- À la fin de son mandat, l'administrateur ne peut faire usage des informations confidentielles ou sensibles dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions d'administrateur de l'AQPER.
- L'ancien administrateur doit également agir de façon à ne pas tirer un avantage indu de son titre antérieur d'administrateur de l'AQPER.
- Les discussions, les échanges et les débats précédant et menant à la prise de décision du Conseil d'administration et ce qui est spécifiquement indiqué comme étant confidentiel par le Conseil d’administration lors d’une réunion sont confidentiels.
- Lorsqu’un administrateur souhaite rapporter les décisions et orientations de l'AQPER, lorsque permis, il doit le faire le plus fidèlement possible en évitant de faire des commentaires pouvant nuire ou porter atteinte à l'intégrité de l'AQPER.
- L'administrateur doit faire preuve de prudence lorsqu'il donne son opinion personnelle en dehors des réunions du Conseil d'administration afin qu'elle ne soit pas perçue comme une position ou une opinion de l'AQPER.
- Règles d'éthique de l’AQPER portant sur les conflits d’intérêts
- Tout membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER s’engage à :
- Ne pas confondre les biens de l’AQPER avec les siens et ne pas utiliser, dans son intérêt personnel, celui de ses proches ou d’un tiers, les biens de l’AQPER de même que toute information confidentielle ou sensible qu'il obtient en raison de sa fonction, à moins qu'il ne soit autorisé à le faire par l’AQPER. Ces obligations subsistent après que le membre ait quitté sa fonction.
- Tout membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER s’engage à :
L'expression « intérêt personnel » signifie un intérêt personnel ou professionnel, direct ou indirect, pécuniaire ou non, réel, apparent ou potentiel. Cet intérêt est distinct de celui de l’AQPER, de ses membres ou employés en général ou peut être perçu comme tel par une personne raisonnablement informée.
L’expression « intérêt des proches » signifie l’intérêt du conjoint, de ses enfants, de ses ascendants ou l’intérêt dans une société, une compagnie, une coopérative ou une association avec laquelle il entretient une relation d’affaires. Il peut être direct ou indirect, pécuniaire ou non, réel, apparent ou potentiel. Cet intérêt est distinct de celui de l’AQPER, de ses membres en général ou peut être perçu comme tel par une personne raisonnablement informée.
Sous réserves du paragraphe (m) de l’article 3.1 et de l’article 4.9 du présent Code, l’expression « information confidentielle ou sensible » signifie toute information obtenue ou échangée lors des réunions du Conseil d’administration, des comités ou groupes de travail et tout document, sur quelque support qu’il soit, relatif à ces informations et tout document y référant. Étant entendu que l’information confidentielle ou sensible ne doit pas inclure, l’information publique ou l’information dans le domaine public au moment où cette information est obtenue, l’information qui devient publique sans manquement ou acte d’un membre de l’AQPER, l’information devant être divulguée en vertu de la loi, d’un règlement, d’un décret, d’une ordonnance de la Cour ou de tout autre tribunal et l’information reçue de bonne foi par une tierce partie étant légalement en possession de cette dernière et qui n’est pas en défaut à l’égard de toute obligation de confidentialité stipulée au présent Code.
- Éviter de se placer dans une situation personnelle ou professionnelle qui l'incite, pourrait l'inciter ou qui serait ou pourrait être perçue comme l'incitant à prendre position, à rendre une décision ou à faire une intervention dans son propre intérêt personnel ou professionnel plutôt que dans celui de l'AQPER (un « intérêt conflictuel»).
S’il est placé dans une telle situation, il doit s'abstenir de participer à toute discussion ou vote sur une question liée à un intérêt conflictuel avec ceux de l'AQPER et doit éviter d'influencer la discussion, la décision ou le vote s'y rapportant.
Pour ce faire, il doit aviser sans délai ses collègues de tout intérêt conflictuel réel, potentiel ou apparent susceptible de le placer en situation de conflit d'intérêts, et ce, sous réserve des règles relatives au secret professionnel et autres règles déontologiques pouvant s'appliquer à sa profession.
Il doit de plus se retirer temporairement, le cas échéant, de la réunion du Conseil d'administration, du comité de travail ou du groupe de travail auquel il participe lorsque cette question est discutée et votée. Il peut exiger que cet avis et que son absence soient inscrits au compte rendu de la rencontre ou au procès-verbal du Conseil d'administration.
- Lorsque la situation personnelle ou professionnelle d'un administrateur, d’un membre d’un comité ou d’un groupe de travail change en cours de mandat et que ce changement a pour effet de créer un conflit d'intérêt (réel, potentiel ou apparent), le membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER doit le signaler dès que possible à ses collègues, sous réserve des règles relatives au secret professionnel et autres règles déontologiques pouvant s’appliquer à sa profession. Il doit en faire de même lorsqu'un changement dans sa situation personnelle ou professionnelle a pour effet de faire cesser un conflit d'intérêts.
- Règles d'éthique de l’AQPER portant sur l’utilisation des ressources
- Un membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER ne peut utiliser les ressources humaines, matérielles, financières et informationnelles à d’autres fins que celles prévues par l’AQPER, à moins d’une autorisation expresse de celle-ci.
- Règles d'éthique de l’AQPER portant sur les cadeaux, marques d’hospitalité ou autres avantages
- Un membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER ne doit pas accepter ni solliciter un cadeau, une marque d’hospitalité ou un avantage de nature financière ou non (une « gratification»), pour lui-même, un proche ou un tiers, si l’acceptation d’une telle gratification est susceptible d’entacher l’objectivité de celui-ci dans l’exercice de sa fonction. Il peut accepter une gratification d’usage et d’une valeur modeste.
Est exclu de cet article toute allocation, tout remboursement de dépenses ou toute autre compensation rattachée à la fonction d’administrateur, de membre de comité ou de groupe de travail.
- Lorsqu'un membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER se questionne sur l'impact éthique de l'acceptation d’une gratification pour son compte personnel ou professionnel, ou pour celui d’un proche ou d’un tiers, il doit demander conseil au Conseil d'administration qui doit lui faire des recommandations à cet égard dans les meilleurs délais.
- Règles d'éthique de l’AQPER portant sur l’obligation de discrétion et de confidentialité
- Le membre exerçant une fonction au sein de l’AQPER est tenu d’agir avec discrétion pendant et après l’exercice de sa fonction.
- Il doit en tout temps respecter le caractère confidentiel et sensible des discussions et échanges précédant et menant à la prise d’une décision ou ce qui est spécifiquement indiqué comme étant confidentiel par l’instance à laquelle il participe, sauf indication contraire de cette instance.
- Il ne doit en aucun temps divulguer des renseignements personnels, professionnels ou toutes autres informations à caractère confidentiel ou sensible, notamment les éléments de stratégie obtenus dans l’exercice de sa fonction.
- Engagement et obligation de publication du Code
- Le membre exerçant une fonction au sein d’un comité de travail ou groupe de travail de l’AQPER doit déclarer, au moment de son adhésion à l’AQPER, avoir lu le présent Code et s’engager à le respecter.
- Le membre exerçant une fonction au sein du Conseil d’administration doit remplir et signer l’Acceptation du mandat de membre du conseil d’administration de l’AQPER et engagement à respecter le Code d’éthique de l’AQPER (Annexe A) au plus tard lors de la première réunion du Conseil d’administration à laquelle il assiste suivant l’adoption du présent Code.
- Tout nouvel administrateur doit remplir et signer l’Acceptation du mandat de membre du conseil d’administration de l’AQPER et engagement à respecter le Code d’éthique de l’AQPER au plus tard lors de la première réunion du Conseil d’administration à laquelle il assiste suivant sa nomination à titre d’administrateur.
- Nonobstant ce qui précède, l’administrateur, le membre d’un comité ou d’un groupe de travail est lié par le présent Code dès sa nomination à titre d’administrateur, de membre d’un comité ou d’un groupe de travail.
- Le présent Code doit être publié sur le site Internet de l’AQPER en tout temps et celle-ci doit s’assurer que l’ensemble de ses membres soient informés de l’existence et du contenu du présent Code.
- Actes dérogatoires
- Tout manquement au présent Code constitue un acte dérogatoire et peut faire l’objet d’une sanction prévue à l’article 12 du présent Code.
- De plus, le fait de ne pas respecter les règlements internes de l’AQPER et de ne pas acquitter les cotisations ou les factures pour services rendus constitue un acte dérogatoire et peut faire l’objet d’une sanction prévue à l’article 12 du présent Code.
- De façon générale, tout acte, geste ou déclaration susceptible de causer un préjudice à l’AQPER constitue également un acte dérogatoire et peut faire l’objet d’une sanction prévue à l’article 12 du présent Code.
- Mécanisme d’application du Code
- L’application du présent Code est confiée au Conseil d’administration.
- Tout membre peut déposer une plainte écrite et signée au Conseil d’administration relativement à un acte dérogatoire qui aurait été commis par un autre membre de l’AQPER.
- Le Conseil d’administration peut également se saisir lui-même d’une plainte.
- Dans la mesure du possible, les plaintes sont traitées en toute confidentialité entre les parties impliquées dans les événements.
- Lorsqu’il est saisi ou lorsqu’il se saisit lui-même d’une plainte pour acte dérogatoire, le Conseil d’administration peut confier la plainte pour examen au comité Ressources humaines et gouvernance (le « Comité RH ») composé de trois personnes, dont deux sont des membres indépendants aux parties impliquées dans les événements et dont l’autre est un administrateur de l’AQPER.
- Le Comité RH a pour mandat, en fonction du présent Code :
- De conseiller et d’informer le Conseil d’administration, lorsque requis, de toute question d’éthique ainsi que de l’application du présent Code.
- De faire la promotion et de rendre disponible le présent Code aux administrateurs et aux membres de l’AQPER.
- De recevoir du Conseil d’administration les plaintes relativement à des manquements au présent Code.
- D’examiner la nature et le bien-fondé des plaintes qui lui sont confiées.
- De recommander au Conseil d’administration les sanctions appropriées en cas de manquements au présent Code.
- De faire rapport annuellement au Conseil d’administration de ses activités et recommandations liées au présent Code.
- Le Conseil d’administration peut également rejeter la plainte si elle lui apparaît à première vue futile, frivole ou insuffisamment grave pour justifier la tenue d’un examen par le Comité RH.
- Le Comité RH peut s’adjoindre toute ressource nécessaire à son bon fonctionnement.
- Le Comité RH peut adopter toute règle de procédure et de fonctionnement.
- Le Comité RH peut conduire son examen selon les méthodes qu’il juge appropriées afin de s’assurer du bien-fondé de la plainte.
- Le Comité RH chargé d’examiner la plainte doit, sans délai, informer par écrit le membre visé par la plainte des faits qui lui sont reprochés par le plaignant. Il invite du même coup ce membre à lui fournir sa version des faits, soit par écrit ou en personne, au choix du membre, afin de lui donner l’occasion de se faire entendre, conformément aux principes de justice naturelle.
- Avant d’émettre toute recommandation au Conseil d’administration relativement à une plainte, le Comité RH peut, en tout temps, convoquer le membre visé par la plainte à une rencontre. Dans ce cas, le Comité RH informe le membre visé par la plainte de la date, de l’heure et du lieu de la rencontre, et ce, dans le but de lui permettre d’y assister et d’y faire toutes les représentations qu’il pourrait juger à propos dans les circonstances.
- À la suite de la réception d’une plainte, le Comité RH doit émettre une recommandation au Conseil d’administration dans les soixante (60) jours après la réception de la plainte. Le Conseil d’administration doit ensuite rendre une décision finale dans les trente (30) jours suivant la réception de la recommandation du Comité RH. Une copie de la décision est transmise aux parties impliquées.
- Lorsque la plainte concerne un administrateur siégeant au sein du Comité RH ou au sein du Conseil d’administration, cet administrateur doit se retirer du Comité RH et/ou du Conseil d’administration durant les périodes de discussions et d’examen touchant la plainte jusqu’à ce qu’il obtienne des instructions claires quant à la suite des choses. L’administrateur siégeant au sein du Comité RH et visé par la plainte doit être remplacé dès que possible par un autre administrateur nommé par le Conseil d’administration afin que débute l’examen de la plainte par le Comité RH, le cas échéant.
Lorsque la plainte concerne un membre indépendant du Comité RH, donc qui n’est pas un administrateur de l’AQPER, ce membre doit se retirer du Comité RH durant les périodes de discussions et d’examen touchant la plainte jusqu’à ce qu’il obtienne des instructions claires quant à la suite des choses. Ce membre indépendant doit être remplacé dès que possible par un autre membre indépendant nommé par le Conseil d’administration afin que débute l’examen de la plainte par le Comité RH, le cas échéant.
Dans tous les cas, le délai de quatre-vingt-dix (90) jours de traitement de la plainte débute à partir de la nomination d’un nouvel administrateur ou d’un nouveau membre indépendant au sein du Comité RH.
Le mandat de ce nouvel administrateur ou membre indépendant cesse lorsque le Comité RH transmet sa recommandation au Conseil d’administration.
- Sanctions
- Le Comité RH peut recommander et le Conseil d’administration peut imposer une ou plusieurs des sanctions suivantes à un membre ayant manqué à une ou plusieurs des dispositions du présent Code :
- La réprimande : avertissement formel par écrit indiquant que la conduite du membre constitue un manquement au présent Code.
- La remise de la gratification reçue à la personne qui l’a offerte.
- Le retrait, temporaire ou définitif, de tout mandat qui lui a été confié par l’AQPER.
- La suspension, temporaire ou définitive, des fonctions du membre à titre d’administrateur, de membre d’un comité ou d’un groupe de travail de l’AQPER, avec réintégration conditionnelle ou inconditionnelle.
- L’expulsion de l’AQPER, temporaire ou définitive, avec réintégration conditionnelle ou inconditionnelle.
- La nature et la gravité du manquement, la fonction occupée par le membre ayant commis le manquement ainsi que la conduite générale de ce dernier et la nature répétitive ou non du manquent sont tous des facteurs qui sont pris en considération par le Comité RH et le Conseil d’administration dans l’exercice des pouvoirs qui leur sont conférés par le présent Code.
- Le Comité RH peut recommander et le Conseil d’administration peut imposer une ou plusieurs des sanctions suivantes à un membre ayant manqué à une ou plusieurs des dispositions du présent Code :
- Interprétation
- En cas de doute quant à l'interprétation du présent Code, un membre doit s'en remettre au Comité RH ou au Conseil d’administration.
- Entrée en vigueur
- Le présent Code entre en vigueur le 22 mars 2018, soit lors de son adoption par le Conseil d’administration à la 276e réunion du Conseil d’administration de l’AQPER et demeure en application jusqu’à sa modification par ce dernier.
Concours étudiant 2021

L'AQPER est fière de lancer sa 4e édition du concours étudiant 3 minutes pour changer le monde, en collaboration avec Transition énergétique Québec (TEQ). En une phrase : il s’agit d’un concours de vulgarisation scientifique sur la transition énergétique ouvert aux étudiant(e)s des cycles supérieurs. Ton projet de recherche concerne la transition énergétique? Les énergies renouvelables te fascinent ? Tu veux changer le monde ? Ce concours est pour toi!
Concours étudiant 2022
L'AQPER est fière de lancer sa 5e édition du concours étudiant sous le thème « Se mobiliser pour la transition énergétique du Québec »! En une phrase : il s’agit d’un concours de vulgarisation scientifique ouvert aux étudiant.e.s des cycles supérieurs de toutes disciplines (génie, sociologie, urbanisme, finance, science politique…). Votre projet de recherche concerne la transition énergétique? Ce concours est pour vous!
Pourquoi participer?
Ce concours offre aux finalistes :
- la chance de remporter l’une des 3 bourses offertes par le ministère de l’Énergie et Ressources naturelles du Québec totalisant 3 000 $ : 1er prix de 1 500 $, 2ème prix de 1 000 $ et 3ème prix de 500 $ ;
- un laissez-passer étudiant complet pour le colloque annuel de l’AQPER 2022 d’une valeur de 250 $ + taxes, qui inclut l’accès aux conférences, aux activités de réseautage et aux repas ;
- une occasion unique de présenter leur projet de recherche devant les représentant.e.s d’entreprises québécoises impliquées dans la transition énergétique du Québec ;
- l’opportunité de faire rayonner leur projet de recherche à un auditoire varié.
Pour être éligibles, les candidat(e)s doivent :
- pouvoir s'exprimer clairement en français ou en anglais ;
- présenter un projet de recherche original en lien avec la transition énergétique du Québec ;
- être inscrit comme étudiant.e à temps plein à la session d’hiver 2021 dans un programme d’études supérieures (M. Sc. A, M. Ing., MBA/EMBA, Ph. D, etc.) - les étudiant.e.s au postdoctorat ne sont pas admissibles ;
- être disponible pour se présenter à la finale à l’Hôtel Fairmont Le Château Frontenac, les 21 et 22 février 2022 ;
- soumettre le formulaire d’inscription dûment rempli d’ici le 6 décembre 2021, 23 h 59 .
Processus de qualification pour la finale :
Inscription :
- Les candidat.e.s ont jusqu’au 6 décembre 2021 pour envoyer leur formulaire d’inscription dûment rempli.
Demi-finale :
- Les candidat.e.s sélectionné.e.s pour la demi-finale seront contacté.e.s par courriel d’ici le 17 décembre 2021*.
- Les demi-finalistes seront invités à fournir une courte présentation vidéo pour le 13 janvier 2022.
- Les précisions sur la procédure de dépôt, le format et le contenu de la vidéo seront transmises aux candidat.e.s sélectionné.e.s.
Finale :
- Les invitations pour la finale seront envoyées aux candidat.e.s sélectionné.e.s d’ici le 15 janvier 2022.
- Les finalistes devront fournir une photographie, une courte biographie et une preuve d’inscription à temps plein pour la session d’hiver 2021 au plus tard le 29 janvier 2022.
- La finale aura lieu à l’Hôtel Fairmont Le Château Frontenac, les 21 et 22 février 2022.
Comment se déroule la finale?
- en un maximum de 3 minutes, chaque finaliste devra présenter son projet de recherche en lien avec la transition énergétique du Québec ;
- en français ou en anglais ;
- en utilisant pour seul appui, une diapositive sans animation, ni vidéo ;
- chaque présentation sera suivie d’une courte période de questions ;
- la finale sera présentée devant audience ;
- les gagnant.e.s du concours seront déterminé.e.s par un jury.
Des exemples de sujets liés à la transition énergétique :
- les nouvelles solutions techniques pour des filières d'énergie renouvelable (éolien, solaire, biomasse, biogaz, biocarburants, petite hydraulique, hydrogène, etc.) ;
- les défis de la transition énergétique ;
- la transition juste ;
- étude sur le discours concernant la transition énergétique et les changements climatiques ;
- les freins à l'implication dans la transition énergétique ;
- le rôle des médias dans la transition énergétique.
Pour vous inscrire, retournez-nous le formulaire à mlewis@aqper.com.
*date sujette à changement selon le nombre d'inscriptions
Coup d'oeil sur le 30ième anniversaire

L'épinglette remise pour souligner l'occasion
Une partie des 160 personnes qui se sont réunies pour célébrer le 30ième anniversaire de l'AQPER
Le président du conseil d'administration, monsieur Alex Couture, a lancé les activités de la soirée banquet.
Au tour du mot de bienvenue de notre président-directeur général, Gabriel Durany.
M. Éric Filion, vice-président exécutif – Distribution, approvisionnement et services partagés, Hydro-Québec.
M. François Carrier, directeur général et Chef, Financement aux sociétés, Desjardins Marché des capitaux.
M. Michel Letellier, président-directeur général d’Innergex.
Le 30e anniversaire aura aussi été l’occasion de souligner l’apport de M. Jean-François Samray, PDG de l’AQPER de 2009 à 2020.
Dans l’ordre habituel, M. Louis Robert ancien président du conseil d’administration de l’AQPER , Jean-François Samray, Alex Couture, président actuel du conseil d’administration de l’AQPER
et Daniel Giguère, également ancien président du conseil d’administration de l’AQPER.
Cette soirée gala 30ième anniversaire n’aurait pas eu le succès qu’elle a connue sans nos commanditaires que nous remercions à nouveau.
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Femmes et Énergies Renouvelables
8 mars 2018 - L'AQPER a profité de la Journée internationale des droits des femmes 2018 pour annoncer le lancement de la campagne Femmes et Énergies Renouvelables. L'AQPER tient non seulement à souligner le rôle important joué par les femmes dans l'industrie des énergies renouvelables au Québec, mais aussi à promouvoir leur contribution qui permet à notre industrie de continuer à innover et à inciter le changement et la diversité des approches et des points de vue. Pour le moment, découvrez en un clic ce qui motive chacune de ces 36 femmes à travailler dans le domaine des énergies renouvelables.
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5 juin 2018 - Environnement et lutte aux GES - les opinions de Eva Lotta Schmidt, Isabelle LeBeau, Josiane Lévesque et Catherine Delisle
26 juillet 2018 - Faire carrière dans les biocarburants - les conseils de Marie-Hélène Labrie et Maude Lauzon
22 août 2018 - Recherche et développement en région - les réponses de Caroline Farley, Lucie Fauteux, Marilys Clément et Cybel Picard
23 octobre 2018 - Avocates en énergie renouvelables avec Me Mylany David, Julie Belley Perron et Sylvie Bouvette
10 décembre 2018 - La lutte aux changements climatiques avec Marjolaine Castonguay, Nathalie Leblanc et Marie-Flore Castonguay
8 mars 2019 - Remerciements aux participantes de la campagne 2018-19

Sylvie Bouvette
« Avocate depuis plus de 30 ans, associée chez BLG et membre de l’AQPER depuis 1994, mon expérience en énergie renouvelable remonte à l’année 1992. Depuis ce temps, je suis fière d’avoir contribué au développement de divers projets hydroélectriques, parcs éoliens et projets de bio-énergie. Je suis depuis toujours motivée à travailler dans le développement des énergies renouvelables car il s’agit d’un projet de société pour le Québec (rien de moins!) permettant un Québec qui se démarquera de ses voisins en étant plus vert, plus attrayant et plus innovant. »
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Nathalie Dupont
« Les énergies renouvelables sont pour moi synonyme de saine gestion environnementale et d’investissement dans l’avenir. De savoir que l’on peut tirer profit d’une ressource sans l’épuiser et compromettre le futur me motive ardemment à offrir le meilleur de moi-même à chaque instant. »
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Alexandra Agagnier
« Ce qui me motive, c’est de travailler en étroite collaboration avec les communautés. Nos projets ont des retombées positives pour l’environnement et le milieu, en plus de participer au dynamisme de l’économie locale. »
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Viviane Maraghi
« Travailler dans ce domaine est pour moi le résultat de mes passions pour l'environnement, l'innovation et l'être humain: chacun de nos gestes compte et j'ai le sentiment que quotidiennement j'aide un tout petit peu à changer le monde! »
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Julie Belley Perron
« Passionnée par la mise en œuvre de projets concrets, l’industrie de l’énergie renouvelable me permet d’aider des acteurs corporatifs respectueux de l’environnement à mener à bien des projets utiles pour les générations futures. C’est un travail gratifiant et valorisant. »
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Marilys Clément
« Je travaille en recherche dans les énergies renouvelables dans l'optique d'en arriver au développement et à l’implantation de technologies avantageuses, durables et permanentes en alternative aux sources d’énergie polluantes. Le but est de faire que cette transition énergétique nécessaire soit également un projet de société fructueux. »
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Marie-Hélène Labrie
« Ce secteur me passionne car tout est à bâtir ou à réinventer. J’y suis heureuse parce que j’y côtoie chaque jour des personnes inspirantes, qui osent pousser les limites et pour qui chaque accomplissement est un pas de plus vers une économie verte et un monde plus durable. »
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Ariane Côté
« C’est la fierté qui me motive à travailler dans les énergies renouvelables. En participant au développement de projets d’énergies renouvelables, j’ai le sentiment de contribuer au bien de l’environnement et des générations à venir. »
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Julie Cusson
« Le secteur des énergies renouvelables est en pleine transformation. Ce faisant, une multitude d’acteurs de tous les horizons – en apparence parfois opposés - doivent travailler ensemble dans l’atteinte d’un but commun soit de produire de l’énergie avec le moins d’impact sur notre planète. S’insère alors une certaine complexité très stimulante d’un point de vue d’affaires publiques. Mais le plus valorisant dans mon travail est sans contredit ce qu’il me permet de transmettre à mes enfants : s’accomplir professionnellement et personnellement en contribuant à quelque chose de plus grand que soi. »
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Mylany David
« Dans notre société, les femmes qui brisent les barrières sont celles qui vont au-delà des limites. En travaillant dans le secteur de l’énergie renouvelable, j’ai la chance de contribuer au déploiement de nouvelles politiques en matière d’énergie, d’être à l’avant-garde du développement de projet, et de travailler avec des acteurs ayant la volonté de participer à la création d’une industrie nouvelle, dynamique et verte! C’est une expérience constamment renouvelable des plus enrichissantes et stimulantes. »
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Caroline Farley
« Pourquoi les énergies renouvelables? Parce que j'y crois et que ça correspond à mes valeurs. Ce sont les énergies d'aujourd'hui et de demain! Ça me stimule d'apporter ma contribution, depuis bientôt 15 ans, au développement durable du Québec et de prendre part à ce courant mondial qu'est la transition énergétique. »
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Lucie Fauteux
« Les énergies renouvelables sont autant d'odes au vivant, au soleil, à la marée, au vent, et j’adore! Travailler à une plus grande intégration de ces formes d’énergie, c’est croire en l’humanité, c’est compter sur l’ingéniosité, la résilience et la bonté pour prendre le virage et construire un monde meilleur, plus propre, plus sain, plus humain. Après tout, l’énergie c’est la vie! »
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Anjuna Langevin
« Je crois que les énergies renouvelables sont l'une des options les plus porteuses d'avenir pour le Québec. Notre territoire favorise la production d'une grande quantité d'énergies renouvelables. C'est un atout pour toute l'Amérique au niveau environnemental. C'est également une façon d'assurer un développement économique durable basé sur le savoir et la technologie, avec des retombées partout au Québec, notamment dans les régions. J'aime rassembler les gens pour que nous puissions ensemble faire avancer des enjeux qui changent notre monde de manière concrète. Je me sens alors portée par quelque chose de plus grand que moi et ça décuple mon énergie. »
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Évelyne Thiffault
« Je suis professeure à l’université, et ce qui me motive, c’est de former de futurs professionnels qui vont être capables de contribuer à la transition énergétique et la lutte aux changements climatiques grâce au développement de la bioénergie. À plusieurs, on devrait arriver à changer le monde! »
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Mélanie Paul
« Pour les premières nations, la relation avec la terre est sacrée, nous nous devons de travailler en partenariat avec elle si nous voulons qu’elle demeure une richesse pour les générations futures! En tant qu’entreprise autochtone, Inukshuk Synergie souhaite mettre en place des solutions énergétiques renouvelables basées sur la biomasse afin de participer à la création d’un avenir meilleur pour nos communautés et nos jeunes! » « Traitez la terre, la nature et les animaux comme il se doit; elle ne vous a pas été donnée par vos parents, elle vous a été prêtée par vos enfants. » (selon un vieux proverbe indien)
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Cybel Picard
« Travailler dans le domaine des énergies renouvelables est une source de motivation, car je sens alors que je suis une actrice du changement et que j'améliore le sort de la planète de demain. »
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Elisabeth Roger
« Travailler au développement des énergies renouvelables, c’est faire des affaires pour l’avenir de notre planète. C’est faire partie d’une industrie dynamique et innovante où les taux de rendement sont synonymes de bienfaits pour la société. Et ça, c’est stimulant! »
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Marie-Ève Simard
« Avoir une influence positive concrète sur le milieu est ce qui me motive le plus. En tant que chargée de projets, je participe à la diminution des répercussions des activités sur l’environnement et je sens que mon travail fait une différence! »
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Anne-Valérie Dubois
« Je me considère chanceuse de travailler pour une entreprise qui me permet de faire une différence au sein de notre communauté. Je suis fière de participer à ses projets et réalisations qui permettent de réduire notre empreinte écologique. Par-dessus tout, le fait de travailler dans le domaine de l’énergie renouvelable correspond à mes valeurs personnelles et familiales. »
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Violette Berge
« Parce que les énergies renouvelables font partie d’une solution économiquement viable au défi posé par la transition énergétique, il me tient à cœur de participer à l’élaboration de cette solution. Au travers de mon travail chez Artelys, je participe aux analyses quantitatives qui permettent de comprendre les impacts des énergies renouvelables sur l’ensemble du système énergétique. C’est cela qui me motive chaque jour à travailler dans ce domaine. »
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Josée-Anne Beauchesne
« Travailler en énergies renouvelables m’a permis de gagner ma vie en me consacrant à ma passion : observer les oiseaux et leur comportement et les dénombrer lors d’inventaires et de suivis fauniques. Mes activités professionnelles variées et captivantes vont bien au-delà des attentes que j’avais en entreprenant des études en biologie. »
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Marie-Flore Castonguay
« Je travaille dans les énergies renouvelables parce que j’ai débuté dans cette industrie très jeune ! En 2001, j’accompagnais déjà ma mère, p.-d. g. de PESCA Environnement, lors des inventaires d’oiseaux préalables à la construction des parcs éoliens. Depuis 5 ans, je participe à titre d’urbaniste, à la préparation des études d’impacts reliées aux projets en énergies renouvelables. Ces projets respectent les principes du développement durable. Cela me motive et me rend fière de mon travail. »
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Daphne Ferguson
« Ce qui me motive, c’est de travailler dans un secteur d'avenir qui contribue à l'émergence d'une économie verte. La transition énergétique est un projet de société; c'est en unissant les forces et les compétences des entreprises, des gouvernements et de la société que nous allons y parvenir. »
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Marie-Ève Landry
« Le domaine des énergies renouvelables me motive parce que je veux que mes enfants et mes petits-enfants aient l’opportunité de vivre sur une planète en santé, et dans ce domaine, j’ai le sentiment de participer activement à ce devoir de société! »
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Maude Lauzon
« Ce qui me motive à travailler dans les énergies renouvelables ce sont les nouvelles technologies, la créativité, la diversité et la passion des gens qui y croient. »
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Marjolaine Castonguay
« Ma motivation à participer aux énergies renouvelables vient de la possibilité de développer de nouvelles expertises et compétences au Québec et de contribuer à l’essor économique des régions. Accompagner des promoteurs à développer des projets dans le respect de l’environnement et des communautés, me rend particulièrement fière. »
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Catherine Delisle
« Ce qui me rend le plus fière de travailler dans le domaine de l’éolien c’est de faire partie d’une communauté qui souhaite, tout comme moi, faire une différence sur l’environnement qui nous entoure. En équipe, nous réunissons les talents de tous afin de combattre ensemble les changements climatiques et ainsi pouvoir prendre soin de notre planète une journée à la fois. L’union fait la force! »
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Isabelle LeBeau
« Les énergies renouvelables et le domaine de l’éolien sont des secteurs en développement, jeunes, dynamiques et en constante évolution technologique. On participe à forger les bases et de pair contribuer au maintien et à l’amélioration de notre environnement. Pour nous et les futures générations. »
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Nathalie Leblanc
« Les projets en énergies renouvelables favorisent une intégration harmonieuse avec le milieu environnant, l’un des objectifs que je considère essentiel en tant que chargée de projets. Je mets mon expertise en communication environnementale au service du créneau des énergies renouvelables pour assurer un avenir vert à nos enfants. »
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Josiane Lévesque
« Je contribue à faire une différence pour l’environnement et c’est un marché en pleine croissance, ce qui laisse place à l’innovation. »
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Marjorie Noël
« C’est le fait d’être tourné vers l’avenir, en termes de technologies et également d’environnement. Selon le type d’énergie, c’est une industrie encore jeune qui amène des défis de tous les genres. »
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Eva Lotta Schmidt
« Les énergies renouvelables constituent un secteur résolument tourné vers l’avenir. Quoi de plus stimulant que de travailler dans un secteur qui attire des gens passionnés et dynamiques? »
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Claudia Goulet
« Travailler dans les énergies renouvelables me permet de contribuer de manière significative à améliorer la vie des gens en créant des emplois de qualité, en diminuant notre empreinte environnementale et en diminuant notre dépendance aux produits pétroliers étrangers. »
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Ilana Kelemen
« En tant qu’individu, c’est ma responsabilité d’influencer les changements que je veux voir dans ma vie. Parce que je ne veux pas devoir choisir entre une économie florissante et un avenir plus vert, quand nous avons cette opportunité devant nous. Parce que je ne veux pas atteindre l’objectif de 100% d’énergies propres d’ici 2050, puisque je sais que nous pouvons l’atteindre dès maintenant. Nous pouvons changer nos politiques, innover continuellement en termes de technologies, mobiliser les communautés, les entreprises et l’industrie pour atteindre cet objectif et j’aimerais que mes compétences soient mises au service de cette cause. »
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Kalinda Legault
« Je suis fière d’être en mesure de contribuer à un avenir plus vert pour les générations futures. Mon travail me permet de démontrer à mes filles, comment appliquer les sciences pour développer des solutions durables aux défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés. Les projets futurs impliquant de nouvelles technologies innovatrices ainsi que la vision de Greenfield Global rejoignent mes valeurs et me motivent grandement. »
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Sylvie Milette
« Travailler dans les énergies renouvelables est en lien direct avec mes valeurs et la raison d’être de mon entreprise. Nous travaillons avec la biomasse avec passion depuis plusieurs années et nous développons des solutions innovantes et écologiques pour nos clients. Ensemble, nous participons à l’enlignement du Québec pour les années à venir. »
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Femmes et Énergies renouvelables : profession « ingénieure »
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(22 mai 2018) Dans la foulée de la Journée mondiale de l'ingénierie pour l'avenir qui s'est tenue le 13 mai, notre troisième reportage de la série « Femmes et Énergies renouvelables » met l’accent sur la profession d’ingénieure. Voici les réflexions de deux ingénieures : Évelyne Thiffault, professeure à l'Université Laval et Kalinda Legault, chargée de Projets Procédés chez Greenfield Global.

Pourquoi avoir choisi de devenir ingénieure ? Y a-t-il un événement ou une personne qui a influencé votre choix ?
Évelyne Thiffault : « Mon père est ingénieur géologue. J’ai donc entendu parler du métier d’ingénieur depuis que je suis toute jeune. Et mon frère, qui a trois ans de plus que moi, envisageait d’abord de faire génie géologique comme notre père et a ensuite découvert le programme de génie forestier. Il faut savoir que nous sommes de Thetford Mines, une région plus reconnue pour ses mines que sa foresterie. On en parlait donc très peu au cégep. Mais dans notre famille, on a des propriétaires forestiers dont mon père qui a plusieurs « terres à bois ». Mon frère a donc finalement choisi le génie forestier et m’a fait découvrir le programme. Il m’a fait réaliser que ça alliait le côté génie et le côté environnemental, soit la protection des ressources naturelles ».Kalinda Legault : « C’est mon intérêt pour les sciences et les mathématiques qui m’a poussée vers l’ingénierie et, après quelques recherches faites au cours de mon cégep, j’ai choisi la chimie. C’est mon père, technicien en biologie dans les laboratoires de l’université d’Ottawa, qui m’a initié aux sciences en m’offrant des « outils » comme un microscope qui ont piqué ma curiosité. J’ai débuté ma carrière au centre de recherche de Cascades à Kingsey Falls et pendant une autre année en banlieue de Toronto, toujours dans le secteur des pâtes et papiers. J’y ai vu un clin d’œil de la vie ; mon grand-père a passé sa vie dans les pâtes et papier. »
Que faudrait-il faire pour faire augmenter le nombre de femmes qui choisissent la carrière d’ingénieure ?
Que diriez-vous pour convaincre une jeune femme de choisir l'ingénierie ?
Kalinda Legault : « Il faut d’abord et avant tout faire la promotion des sciences tout de suite au primaire et au secondaire pour développer l’intérêt des jeunes filles. Mettre aussi l’emphase sur l’aspect écologique, du développement durable qu’on peut aller chercher à travers le génie. Je leur dirais aussi que c’est un travail d’équipe avec des personnes de tous les domaines qui mettent leur énergie ensemble pour trouver des solutions aux problèmes qu’on leur soumet. Quand le projet est terminé et que tout fonctionne, on en tire vraiment un sentiment d’accomplissement, qu’on a fait une différence. C’est une profession d’avenir, de plus en plus en demande particulièrement dans les énergies renouvelables, avec une multitude d’options et de variétés d’emplois : on peut être en usine ou en recherche, en consultation ou en gestion. »
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Femmes et Énergies renouvelables : une carrière en environnement
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Jeanne Gaudreault : Ingénieure forestière et Chef - Environnement
Ingénieure forestière de formation, Jeanne a d’abord été consultante afin d’évaluer les impacts sur la végétation dans le cadre du premier appel d’offres pour un projet éolien, lancé par Hydro-Québec en 2003. « À l’époque, c’était mon premier contact avec les études d’impact sur l’environnement et le début d’une belle et grande aventure. En 2007, on m’a alors offert de me joindre à l’équipe d’Innergex pour superviser la réalisation des études et je n’ai pas quitté l’entreprise depuis. », explique-t-elle.
Fondée en 1990, Innergex énergie renouvelable est une compagnie entièrement québécoise qui développe des centrales hydroélectriques au fil de l’eau, des parcs éoliens, des parcs solaires photovoltaïques et des centrales géothermiques au Canada, en France, aux États-Unis et en Islande.
Ce que Jeanne préfère dans son travail, c’est de toucher à plusieurs facettes. « J’aime me rendre sur le terrain afin de m’assurer que nous respectons les conditions de nos permis, les lois et règlements en vigueur, que nous avons reçu toutes les autorisations nécessaires et que nous prenons en considération les préoccupations des communautés avec qui nous devons créer un lien de confiance. Il ne faut pas avoir peur de démystifier les projets; les défis qui en découlent sont très diversifiés et extrêmement passionnants! », répond-t-elle.
Sur les chantiers, elle doit également s’assurer que les travailleurs provenant des communautés locales soient priorisés lors des embauches. « Dans le cadre du projet de parc éolien Mesgi'g Ugju's'n en Gaspésie, on a eu jusqu’à 113 travailleurs Mi’gmaq sur le chantier. Pour ce faire, il nous a fallu travailler bien en amont, avec les trois communautés Mi’gmaq et l’entrepreneur responsable de la construction, afin de nous assurer que tout ce beau monde soit certifié pour ainsi accéder aux postes convoités », donne-t-elle en exemple.
En conclusion, si Jeanne pouvait donner un conseil aux femmes, ce serait de ne pas avoir peur de défoncer les portes. « Quand j’ai commencé mes études en génie forestier il y a une trentaine d’années, il y avait peu de femmes dans le milieu et c’est encore le cas aujourd’hui. Mon parcours professionnel a tout de même évolué et pris une tangeante que je ne soupçonnais pas au départ. Me voici donc aujourd’hui, Jeanne Gaudreault, heureuse d’œuvrer dans le domaine des énergies renouvelables et fière de pouvoir faire une réelle différence pour les gens, la planète et la société … »
Ariane Côté : De géographe à chargée de projets environnement
« Ce que j’apprécie de travailler dans les énergies renouvelables, c’est qu’il s’agit d’un domaine assez jeune où l’amélioration et l’innovation ont leur place. C’est un milieu où l’apprentissage est continu et où la recherche de solutions novatrices est constante pour préserver l’environnement », nous dit Ariane Côté, chargée de projets chez SNC-Lavalin - Environnement et géosciences.
Ariane est en impartition au sein de l’équipe d’EDF Renouvelables, depuis plus de 4 ans. Elle est impliquée dans des projets éoliens et solaires au Québec et en Ontario. Comme vous le verrez, ses tâches sont variées. « En phase de développement de projets, je travaille à l’analyse des paramètres environnementaux et sociaux d’un site. Je fais des rencontres et des consultations avec les parties prenantes tels les élus, les agences gouvernementales, les copropriétaires, les utilisateurs du territoire, les propriétaires de lots et autres groupes ou gens concernés par le projet. Ainsi, mes responsabilités ne se limitent pas aux sites des projets, mais au développement de ceux-ci en tenant compte des besoins et des préoccupations du milieu d’accueil. En phase construction, je suis amenée à me rendre sur les chantiers pour m’assurer du respect des engagements. Et en phase opération, je coordonne les travaux de suivis environnementaux notamment sur la faune, la végétation, le son, le paysage », nous décrit-elle.
C’est la géographie qui l’a amenée dans le domaine de l’environnement. Après son baccalauréat en géographie à l’Université du Québec à Montréal, elle a fait une maîtrise en aménagement du territoire et systèmes d’informations géographiques. « Ces systèmes sont des outils qui permettent d’analyser plusieurs paramètres et éléments du milieu biologique, physique et humain, et ce, à toutes les étapes d’un projet» explique-t-elle. Son projet de recherche portait plus spécifiquement sur l’utilisation de ces outils dans le cadre de l’évaluation des impacts environnementaux de parcs éoliens.
Après quelques années à travailler au développement éolien en France et au Québec, elle a œuvré dans le Grand-Nord québécois sur des projets hydroélectriques et ensuite dans le secteur minier en Afrique « avant de revenir, dit-elle, à mes premiers amours : l’éolien et le solaire».
Pourquoi travailler dans le domaine des énergies renouvelables ? « En travaillant dans les énergies renouvelables, j’ai le sentiment de contribuer au bien de l’environnement et des générations à venir. Ce qui correspond entièrement à mes valeurs personnelles », répond-t-elle sans hésiter.
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