(25 mai 2018) - L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable tient à souligner et féliciter le gouvernement canadien pour l’annonce faite dans le cadre de la neuvième rencontre du Groupe ministériel sur l'énergie propre à Copenhague, concernant l’intention du Canada de joindre l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) – une agence des Nations Unies vouée au déploiement des énergies renouvelables durables.
Au cours des années, l’AQPER a de nombreuses fois fait valoir les avantages de cette adhésion pour le rayonnement de l’expertise canadienne et québécoise au sein de cet organisme intergouvernemental dont le mandat est de promouvoir l'adoption généralisée et croissante de l'utilisation durable de toutes les formes d'énergie renouvelable. Ceci afin de faciliter et d’accélérer le développement durable, l'accès à l'énergie, la sécurité énergétique et la croissance d'une prospérité économique sobre en carbone pour l’ensemble de la population mondiale.
« Les compagnies québécoises et canadiennes sont devenues des joueurs majeurs en énergie renouvelable, non seulement ici, mais partout sur la planète. À titre de 171ième membre d’Irena, le Canada pourra maintenant participer à des groupes de travail, faire valoir le savoir-faire et les technologies de nos entreprises en plus de leur permettre d’avoir recours à des programmes internationaux de développement dans les pays qui veulent faire le passage aux énergies renouvelables », explique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
Rappelons que les bases de ce qui allait devenir l’Irena ont été jetées en 2005 à Montréal dans le cadre de la COP 11 au cours de laquelle a été adopté le Plan d’action de Montréal qui prolongeait la durée du protocole de Kyoto. C’est donc une histoire qui se boucle avec l’adhésion du Canada.
Au cours des années, l’AQPER a de nombreuses fois fait valoir les avantages de cette adhésion pour le rayonnement de l’expertise canadienne et québécoise au sein de cet organisme intergouvernemental dont le mandat est de promouvoir l'adoption généralisée et croissante de l'utilisation durable de toutes les formes d'énergie renouvelable. Ceci afin de faciliter et d’accélérer le développement durable, l'accès à l'énergie, la sécurité énergétique et la croissance d'une prospérité économique sobre en carbone pour l’ensemble de la population mondiale.
« Les compagnies québécoises et canadiennes sont devenues des joueurs majeurs en énergie renouvelable, non seulement ici, mais partout sur la planète. À titre de 171ième membre d’Irena, le Canada pourra maintenant participer à des groupes de travail, faire valoir le savoir-faire et les technologies de nos entreprises en plus de leur permettre d’avoir recours à des programmes internationaux de développement dans les pays qui veulent faire le passage aux énergies renouvelables », explique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
Rappelons que les bases de ce qui allait devenir l’Irena ont été jetées en 2005 à Montréal dans le cadre de la COP 11 au cours de laquelle a été adopté le Plan d’action de Montréal qui prolongeait la durée du protocole de Kyoto. C’est donc une histoire qui se boucle avec l’adhésion du Canada.