(26 mars 2019) L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) se réjouit de l’annonce faite hier par le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles concernant la quantité minimale de gaz naturel renouvelable soit 1 % en 2020 ; 2 % en 2023 et 5 % en 2025.
« Nous félicitons le ministre de donner suite aussi rapidement à l’une des recommandations que l’AQPER et dix autres associations lui présentaient au début du mois de février », explique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
En effet, en février dernier, l’Association faisait parvenir une lettre au ministre dans laquelle elle faisait état du besoin criant pour le Québec de se doter de cibles ambitieuses dans le gaz naturel renouvelable. De plus, cette demande appuyée par l’Association des distributeurs d’énergie du Québec (ADEQ), le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ), le Conseil du patronat du Québec (CPQ), le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction (International), la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Énergir, Enerkem, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), Fondaction et SWITCH - l’Alliance pour une économie verte concernait aussi l’adoption de normes minimales en biocarburants. La Coalition proposait alors l’adoption d’une réglementation fixant à 7 % la teneur minimale d’éthanol et à 2 % la teneur minimale de biodiesel/diesel synthétique dans les carburants vendus au Québec pour 2020. Ces proportions pourraient augmenter jusqu’à 15 % d’éthanol (E15) et de 10 % de biodiesel/diesel synthétique (B10) d’ici 2030.
Finalement, afin de bénéficier de l’ensemble de ces gains, une réglementation fixant l’intensité en carbone des carburants propres garantira leur production en sol québécois plutôt que leur importation. Créant des boucles d’économies circulaires structurantes, le développement des biocombustibles permettra également à différents secteurs de notre économie d’accroître leur résilience et de différencier leurs produits.
« Le ministre Julien a démontré une écoute attentive et proactive dans ce dossier et nous tenons à le remercier pour cette première étape annoncée aujourd’hui. La transition énergétique ne peut attendre et les gestes concrets, comme celui d’aujourd’hui, auront un effet réel sur notre capacité à atteindre nos objectifs de réduction des GES », a conclu monsieur Samray.
« Nous félicitons le ministre de donner suite aussi rapidement à l’une des recommandations que l’AQPER et dix autres associations lui présentaient au début du mois de février », explique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
En effet, en février dernier, l’Association faisait parvenir une lettre au ministre dans laquelle elle faisait état du besoin criant pour le Québec de se doter de cibles ambitieuses dans le gaz naturel renouvelable. De plus, cette demande appuyée par l’Association des distributeurs d’énergie du Québec (ADEQ), le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ), le Conseil du patronat du Québec (CPQ), le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction (International), la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Énergir, Enerkem, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), Fondaction et SWITCH - l’Alliance pour une économie verte concernait aussi l’adoption de normes minimales en biocarburants. La Coalition proposait alors l’adoption d’une réglementation fixant à 7 % la teneur minimale d’éthanol et à 2 % la teneur minimale de biodiesel/diesel synthétique dans les carburants vendus au Québec pour 2020. Ces proportions pourraient augmenter jusqu’à 15 % d’éthanol (E15) et de 10 % de biodiesel/diesel synthétique (B10) d’ici 2030.
Finalement, afin de bénéficier de l’ensemble de ces gains, une réglementation fixant l’intensité en carbone des carburants propres garantira leur production en sol québécois plutôt que leur importation. Créant des boucles d’économies circulaires structurantes, le développement des biocombustibles permettra également à différents secteurs de notre économie d’accroître leur résilience et de différencier leurs produits.
« Le ministre Julien a démontré une écoute attentive et proactive dans ce dossier et nous tenons à le remercier pour cette première étape annoncée aujourd’hui. La transition énergétique ne peut attendre et les gestes concrets, comme celui d’aujourd’hui, auront un effet réel sur notre capacité à atteindre nos objectifs de réduction des GES », a conclu monsieur Samray.