Pour clore le balado L'Énergie autrement d’Énergir, Anaïs Favron a interviewé notre pdg, Gabriel Durany, sur le rôle des énergies renouvelables dans la lutte aux changements climatiques et la relance économique post-pandémie. «Ce qu'on affronte actuellement, les cibles climatiques à atteindre, appelle à une réflexion de portefeuille de solutions. Il n'y aura pas de solution unique.»
Quelques extraits de la conversation
Quelques extraits de la conversation
«Ce qu'on affronte actuellement, les cibles climatiques à atteindre, appelle à une réflexion de portefeuille de solutions. Il n'y aura pas de solution unique.»
« On a ce rôle de leader nord-américain climatique., de grand producteur d’énergie électrique renouvelable. On peut aider nos voisins à passer à travers leurs propres défis climatiques. Il faut assumer cette position en tant que québécois. »
« Il nous reste 10 ans. On a devant nous nos filières performantes, l’éolien, la petite hydraulique pour lesquelles on a des modèles de participation communautaire que nous sommes capables de déployer rapidement. On a une réflexion à faire sur le solaire. »
« La Feuille de route 2030 dit l’effort à réaliser en terme de hausse de production d’énergie renouvelable en électricité et en bioénergies. Ça représente des investissements de 10 à 13 milliards $ pour l’économie québécoise, une vraie opportunité de relance verte. »
« À partir de 2030, le prochain défi qui nous attend c’est celui de la carbo-neutralité en 2050. On est sur une rampe de lancement et en 2030, on part. Il faut s’assurer d’avoir la bonne vitesse pour décoller. Je crois fermement qu’avec les bons incitatifs et la bonne mobilisation, on va y arriver.»