AQPER - Association québécoise de la production d'énergie renouvelable
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Résultats de la 4e étude de veille de la main-d’œuvre du secteur éolien

Gaspé, 17 mars 2014 – L’industrie éolienne québécoise aura besoin de plus de 320 travailleurs d’ici cinq ans dont une centaine uniquement dans le domaine de l’opération et de la maintenance. C’est ce que révèle la dernière étude de veille annuelle de la main-d’œuvre du secteur éolien produite par le Créneau éolien ACCORD, au cours des mois de novembre et décembre 2013.

Cette veille, réalisée avec la collaboration financière de la Conférence régionale des élus Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine et d’Emploi-Québec, a permis d’obtenir les réponses de 38 entreprises ayant des activités dans la région désignée de l’éolien (Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine et MRC de la Matanie). Sans surprise, le métier le plus en demande sera celui de technicien en maintenance d’éolienne avec des besoins d’une soixantaine de travailleurs d’ici 2018.

« La demande de techniciens en maintenance est généralisée. Que ce soit les turbiniers, les propriétaires-opérateurs de parcs éoliens ou les entreprises sous-traitantes, tous auront besoin de travailleurs formés dans le domaine de l’opération et maintenance. Or, les maisons d’enseignement peinent à recruter des jeunes dans les domaines techniques, ce qui laisse entrevoir une possible pénurie de main-d’œuvre », constate le directeur du Créneau éolien ACCORD, Dave Lavoie.

Le domaine de l’opération et de la maintenance cherchera également à combler des fonctions de superviseurs, d’ingénieurs, de techniciens en composite, de techniciens en haute tension, de techniciens en automatisation de contrôle ainsi que du personnel administratif et des enseignants.

Autres métiers d’avenir de la filière éolienne
L’industrie éolienne aura également besoin d’une cinquantaine de soudeurs, d’une vingtaine de manœuvres et d’assembleurs mécaniques, de même que des contrôleurs de la qualité, des camionneurs, des opérateurs d’engin de chantier, des électriciens, des ingénieurs civils, mécaniques et électriques, des informaticiens, des techniciens en électronique. (Voir en annexe la liste de tous les métiers en demande).

On dénombre pas moins de 95 métiers différents au sein de l’industrie éolienne québécoise. Rappelons que cette industrie emploie 1200 personnes dans la région désignée de l’éolien au Québec (Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine et MRC de la Matanie) et un total de 5000 à l’échelle de la province.

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