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Colloque 2023
Alors que la transition énergétique s’accélère afin de décarboner notre économie, les nombreuses solutions à mettre en place simultanément créées des discussions complexes partout dans le monde. Les décideurs politiques, les producteurs d’énergie, les utilités réglementés de transport et de distribution d’énergie ainsi que les dirigeants de nombreuses entreprises doivent faire preuve d'une grande agilité afin d’atteindre un équilibre entre la résilience économique et un avenir énergétique durable, abordable et propre. Une transition énergétique réussie, au service de l’économie, doit tenir compte du rôle central de la sécurité énergétique et la manière dont elle est interreliée. Il sera de plus en plus courant de parler des concepts de durabilité et de résilience énergétique. S'étant déroulé du 20 au 22 février 2023, le Colloque de l'AQPER est un moment fort de l'Association.
20 février 2023

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21 février 2023

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22 février 2023

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Concours étudiant 2024
L'AQPER est fière de lancer sa 7e édition du concours étudiant sous le thème « Se mobiliser pour la transition énergétique du Québec »! En une phrase : il s’agit d’un concours de vulgarisation scientifique ouvert aux étudiant.e.s des cycles supérieurs de toutes disciplines (génie, sociologie, urbanisme, finance, science politique…). Votre projet de recherche concerne la transition énergétique du Québec? Ce concours est pour vous!
Femmes et Énergies renouvelables : Environnement et lutte aux GES
Quatre professionnelles d'ENERCON Canada inc. partagent leurs réflexions sur l'environnement et la lutte aux GES : Eva Lotta Schmidt, gestionnaire développement des affaires; Isabelle LeBeau, directrice exécutive; Josiane Lévesque, coordonnatrice du centre de formation et Catherine Delisle, partenaire d'affaire ressources humaines.
À voir aussi:
Découvrez en un clic ce qui motive chacune de ces 36 femmes à travailler dans le domaine des énergies renouvelables
Femmes et Énergies renouvelables : qu'en pensent leurs enfants ?
Femmes et Énergies renouvelables : qu'en pensent leurs enfants ?
(15 mai 2018) Dans le cadre de la Journée internationale des familles, nous avons pensé demandé à de jeunes enfants de nous parler des énergies renouvelables et du travail de leur mère. Merci à Viviane Maraghi avec Jolan et Louve ainsi qu'à Julie Cusson avec Eliott et Arnaud de s'être prêtées à l'exercice.

Anthropologue de formation, Viviane Maraghi a plus de 12 ans d’expérience dans le développement de projets d’énergie renouvelable, principalement en éolien. Elle a travaillé dans plusieurs marchés canadiens et du nord-est américain et a une grande connaissance du portrait énergétique du Québec. Elle a joint l’équipe de RES en 2014 et a travaillé activement au développement du projet de Parc éolien Mont Sainte-Marguerite ainsi que sur les projets d’exportations dans les marchés limitrophes. Elle est membre du Conseil d’administration de l’AQPER et du comité directeur de CanWea au Québec.

Détentrice d’un baccalauréat en économie de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en économie de l’UQAM, Julie Cusson possède dix-huit ans d’expérience en affaires publiques, relations gouvernementales et communications, essentiellement dans les domaines de l’énergie et des ressources naturelles. Julie est directrice des affaires publiques et communications de Boralex depuis mars 2016. Elle siège comme administratrice au conseil d’administration de Transition Énergétique Québec de même qu’à celui de l’AQPER, et elle fait partie du comité directeur de CanWea au Québec.

Jolan (7 ans)
Comment décrirais-tu le travail de ta maman?
C’est vraiment cool parce que les éoliennes c’est pratique pour faire de l’électricité!
Est-ce que tu penses que c’est important les énergies renouvelables? Pourquoi?
Je pense que c’est bien. C’est important parce que la terre a des bobos et ça peut guérir la terre.

Louve (8 ans)
Comment décrirais-tu le travail de ta maman?
Je pense qu’elle fait de beaux efforts, travaille bien et fait de son mieux!
Est-ce que tu penses que c’est important les énergies renouvelables? Pourquoi?
Je pense que c’est très important parce que c’est de l’électricité propre qui sert à avoir de la lumière et qui aide la terre.

Eliott (8 ans)
Pour toi, c’est quoi les énergies renouvelables (éolien, solaire, etc.)?
Les énergies renouvelables pour moi, ce sont les éoliennes. Parce que c’est ce que je connais et que j’ai visité le parc éolien de la Seigneurie de Beaupré à l’automne dernier.
Qu’est-ce que tu aimes le plus du travail que fait ta maman?
J’aime que ma maman travaille dans un domaine essentiel à notre vie de tous les jours sans polluer la planète.

Arnaud (11 ans)
Pour toi, c’est quoi les énergies renouvelables (éolien, solaire, etc.)?
C’est une façon propre de produire de l’électricité et qui va remplacer les énergies plus polluantes comme le pétrole. En plus, comme c’est renouvelable, on peut en produire à l’infini. C’est une façon d’aider à la santé de la planète.
Qu’est-ce qui te rend le plus fier/fière du travail que fait ta maman?
Je suis fier que ma mère travaille pour Boralex qui devient de plus en plus une grande compagnie car bientôt, tout le monde voudra de l’énergie renouvelable. Je trouve ça « nice » aussi de voir ma mère dans les médias pour influencer les gens à faire plus attention à la planète en choisissant des énergies plus vertes.
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Énergie hydroélectrique
ÉTAT DES LIEUX
Le développement hydroélectrique québécois a vu le jour en 1885 avec la mise en service de la centrale Sault Montmorency près de la Chute Montmorency. Au cours des cinq décennies suivantes, plusieurs nouvelles installations furent bâties, si bien qu’en 1943 le Québec comptait 89 petites centrales.
De 1944 à 1962, année de la nationalisation des ressources électriques par le gouvernement de Jean Lesage, 41 nouvelles centrales étaient ajoutées. Avant même l’avènement d’Hydro-Québec, le Québec comptait donc déjà 130 petites centrales hydroélectriques !
Vingt-cinq installations furent construites entre 1963 et 1990, dont les grands projets Manic-1, Manic-2, et les complexes LG-1, LG-2 et LG-3 d’Hydro-Québec. Peu de petites centrales hydroélectriques furent érigées pendant le développement des mégaprojets. Toutefois, en 1991, le gouvernement du Québec choisit de faire une plus grande place à la production privée. Un appel de propositions fut lancé pour développer des centrales de 50 MW et moins et 16 contrats furent accordés, pour une puissance installée de 750 MW. Plusieurs des centrales mises en service sous ce programme sont d’anciennes installations en mal de réfection que les développeurs privés ont revalorisées en les mettant à niveau.
Le Québec compte présentement 108 petites centrales hydroélectriques exploitées par des producteurs privés, des municipalités ou des auto-consommateurs (alumineries, papetières, etc.). Situées dans presque toutes les régions administratives de la province, ces centrales ont une puissance installée totale de 4000 MW, ce qui équivaut à 10 % de la production des grandes centrales d’Hydro-Québec.
Pour encourager le développement économique des régions, Hydro-Québec fait en 2009 un appel d’offres pour acquérir un bloc de 150 MW d’hydroélectricité produite à partir de projets communautaires et autochtones. Suite à cette initiative, 13 nouveaux projets sont approuvés. Leur mise en service se fera à divers moments entre 2011 et 2015.
Énergie éolienne
ÉTAT DES LIEUX
La production éolienne est relativement jeune au Québec, ayant débuté en 1998 avec le projet Le Nordais en Gaspésie. En 2003, Hydro-Québec lance un premier appel d’offres pour l’acquisition de 1000 MW d’électricité produite à partir d’éoliennes. À l’aboutissement du processus de sélection, huit contrats sont signés pour une puissance totale de 990 MW. Tous les projets retenus sont situés en Gaspésie, région durement éprouvée au plan économique et ayant choisi cette filière pour diversifier son économie. Les développeurs y investissent près de deux milliards de dollars et créent plus de 600 emplois au sein de nouvelles entreprises vouées à la fabrication de composantes d’éoliennes.
En 2005, Hydro-Québec lance un second appel d’offres pour 2000 MW d’énergie éolienne. Quinze projets sont retenus et sont présentement en cours de réalisation. Ils nécessiteront des investissements de plus de 4 milliards de dollars d’ici 2015.
En 2009, un appel d’offres est lancé pour des projets communautaires et autochtones de 25 MW et moins. Le gouvernement du Québec souhaite maximiser les retombées économiques locales et régionales, tout en s’assurant que les développements effectués respectent l’environnement et bénéficient du soutien des communautés concernées. Ainsi, 12 projets sont retenus, dont un issu d’une communauté autochtone. Tous seront développés en partenariat avec les communautés locales du Bas Saint-Laurent, de la Capitale-Nationale, de Chaudière-Appalaches, de l’Estrie, de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, de la Montérégie et du Saguenay-Lac-Saint-Jean.
À ce jour, le Québec compte huit parcs éoliens en exploitation, ce qui représente :
- 493 éoliennes;
- 659 MW; et
- environ 1 % de l’électricité produite au Québec.
Le potentiel éolien québécois se chiffre à près de 4 millions de MW, soit presque 100 fois la production totale des centrales hydroélectriques en opération sur son territoire. Toutefois, plusieurs facteurs viennent réduire le potentiel économiquement aménageable, dont notamment la proximité de lignes de transport. En 2015, année où tous les projets retenus suite aux trois appels d’offres d’Hydro-Québec devraient avoir été mis en service, le Québec disposera d’une production d’électricité de source éolienne d’environ 4000 MW, équivalant à 10 % de l’ensemble de la production d’Hydro-Québec, et à seulement 0,1 % de son potentiel.
TECHNOLOGIE
Les éoliennes captent le vent par leurs pales et acheminent sa puissance vers une génératrice. Cette dernière transforme l’énergie cinétique en énergie électrique. Afin d’optimiser leur rendement, la position des pales peut être ajustée en fonction de la direction du vent.
IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT
- Réduit les gaz à effet de serre en remplaçant les énergies fossiles;
- Ne génère ni déchets, ni pollution de l’air;
- À ce jour, aucune autre forme de production d’énergie n’a un bilan plus favorable !